Depuis 50 ans, aucune étude scientifique n’avait été en mesure de prouver l’efficacité d’une molécule en association à la doxorubicine, dans le traitement de première ligne des patients atteints de sarcomes des tissus mous métastatiques ou avancés non opérables.

Les sarcomes représentent environ 1% des cancers de l’adulte et représentent environ 5000 nouveaux cas chaque année en France. Ces cancers rares se développent aux dépends des tissus de soutien de l’organisme et sont d’une très grande hétérogénéité. Ils sont dit « des tissus mous

Identifier de nouveaux traitements dans les sarcomes est un véritable défi, du fait de leur grande rareté et de leur hétérogénéité. Il est donc difficile de recruter un nombre suffisant de patients pour mener des essais cliniques. La chimiothérapie par Doxorubicine est la

L’étude LMS04 intitulée « Doxorubicin-Trabectedin with Trabectedin maintenance in Leiomyosarcoma », promue par l’Institut Gustave Roussy, coordonnée par le Dr Patricia Pautier et co-coordonnée par le Pr Florence Duffaud à la Timone, a évalué l’ajout d’une nouvelle molécule au

Les résultats définitifs publiés dans le New England Journal of Medicine, montrent une amélioration significative de la survie sans progression et de la survie globale dans le groupe de patients ayant reçu la combinaison Doxorubicine-Trabectedine suivi de la Trabectedine en

L’étude de phase III intitulée LMS04 a été menée chez 150 patients atteints de leiomyosarcomes métastatiques ou avancés non opérables (utérins ou des tissus mous), n’ayant jamais reçu de chimiothérapie.

Dans cette étude, les patients ont été randomisés en deux groupes. Ceux inclus dans le 1er groupe ont reçu 6 cycles de Doxorubicine (traitement standard de première ligne dans cette indication). Les patients inclus dans le 2ème groupe ont reçu 6 cycles de l’association

Par ses résultats positifs cette étude va modifier la prise en charge, à l’échelle mondiale, de l’ensemble des patients atteints d‘un leiomyosarcome métastatique ou avancé non opérable.

Cette étude ouvre de nouvelles perspectives de recherche, notamment dans les liposarcomes, autre sous-type de sarcomes de tissus mous, dans lequel la trabectedine a déjà montré des signes d’efficacité thérapeutique en situation métastatique, mais surtout dans le traitement

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Dispositif Spécifique Régional du Cancer Institut national du cancer @CanceropolePACA Gustave Roussy @GroupeUnicancer AP-HM Story Article à retrouver également sur notre page LinkedIn => linkedin.com/pulse/l%C3%A9t…

La prise en charge du syndrome de congestion pelvienne Hier, l'Association du Syndrome de Congestion Pelvienne (ASCP) a organisé un stand d'information dans le hall de Timone 2 pour sensibiliser sur le syndrome de congestion pelvienne (SCP), une cause fréquente mais méconnue des

Ce syndrome, qui touche 4 femmes sur 20 souffrant de douleurs pelviennes chroniques, peut se manifester par des symptômes variés : - Douleurs dans le bas-ventre (depuis plus de 6 mois, cycliques ou permanentes). - Troubles urologiques (envie fréquente d'uriner, infections

L'association, à travers des brochures et des échanges avec le public, invite les patientes à en parler à leurs médecins et propose des ressources pour mieux comprendre et traiter cette pathologie.

Pour plus d'informations, consultez le site info-congestionpelvienne.fr

⚫️ En ce 23 décembre, l’AP-HM tient à exprimer son soutien aux habitants de #Mayotte, durement éprouvés par le passage du cyclone Chido. Nos pensées vont aux victimes, à leurs familles, ainsi qu’à nos collègues du Centre Hospitalier de Mayotte, pleinement mobilisés face à cette

[1/4] L’AP-HM quitte X #CHUsansX #CHUplusSurX - Lire notre 'thread'👇

[2/4] Compte tenu de l’évolution de la ligne éditoriale de X (ex Twitter) l’AP-HM a décidé de suspendre son activité sur ce réseau. Le réseau social X est aujourd’hui très éloigné des valeurs de solidarité, d’humanité et de tolérance défendues par notre CHU.

[3/4] Il est également devenu une plateforme de désinformation scientifique et favorise le complotisme. Par son absence de modération, X est désormais un lieu de propagation de fake news, de contenus violents et favorise le harcèlement de nombreux hospitaliers par des comptes

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