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07-02-2012 15:29:52
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«Il faut sanctionner très fort. La prévention est importante mais la répression aussi.», réagit Bruno Pomart au sujet des débordements et de la violence dans les rues parisiennes après la victoire du PSG en Ligue des Champions.

Dans Bienvenue en Ile-de-France, Bruno Pomart répond aux propos d'Antoine Léaument 🇫🇷 disant "avoir été gazé par les forces de l'ordre". Bruno Pomart regrette la "récupération politique et le double langage" de LFI.

«C'est lui qui mérite le Ballon d'or au PSG.», déclare Christophe Remise au sujet du potentiel sacre de Ousmane Dembélé pour le Ballon d'or 2025.


«Les périodes les plus prospères pour la France, sous de Gaulle et Napoléon III, avaient pour fil directeur un État fort, de l'ordre dans le pays et l'appel au peuple régulier par les votes sur des questions fondamentales», martèle le prince Joachim Murat dans «Points de Vue».



Israël dans le piège de Gaza : retrouvez «Le Club Le Figaro International» ce soir à 22h sur Le Figaro TV présenté par Philippe Gélie. Nous recevons Agnès Levallois, Georges Malbrunot et Renaud Girard.

«Netanyahou est engagé dans une fuite en avant car il n’a aucune perspective politique. La fin de la guerre signerait la chute de son gouvernement. Il se retrouverait alors en première ligne face à ses procès», explique Agnès Levallois invité de Philippe Gélie.

«Netanyahou risque l’isolement international et que le monde arabe lui tourne le dos. Les accords d’Abraham, c’est fini. Au sein du Moyen-Orient, il n’est plus question d’avoir une paix avec Israël», analyse Georges Malbrunot invité de Philippe Gélie.

«Je ne suis pas pour la reconnaissance d’un État palestinien car je ne suis pas pour la diplomatie du whishfull thinking. Il faut être réaliste et partir des réalités de terrain», explique Renaud Girard invité de Philippe Gélie invité de Philippe Gélie.

«Seule une décision américaine peut arrêter la guerre et le massacre à Gaza. Trump, accompagné des Européens, peut représenter un poids parce que l’Union Européenne est le premier partenaire commercial d’Israël. On a donc des leviers», analyse Agnès Levallois invité de Philippe Gélie.

Retrouvez ce soir à 22h «Le Club Le Figaro Culture» sur Le Figaro TV présenté par J-Christophe Buisson. Nous accueillons un invité exceptionnel: le comédien Maxime d’Aboville (Maxime d'Aboville), Isabelle Schmitz et Geoffroy Caillet l’accompagnent en plateau.

«On ne sait pas si c'est vrai, mais Alain Delon aurait eu une fille avec une prostituée en Indochine. Il ne l'aurait pas recherchée car il espérait qu'avec sa renommée, même en Asie, elle se manifesterait. Mais rien ne s'est passé», raconte Laurence Pieau dans «Points de Vue».

«Les Ukrainiens ne bénéficient presque plus du renseignement américain. Pour l'explosion du pont de Crimée, je vois clairement les Britanniques derrière ce genre d'opération. Des pays de l'Otan ont dû appuyer», pronostique le colonel Peer de Jong, invité de «Points de Vue».

«On s'est rendu compte pendant le procès Le Scouarnec que le casier judiciaire des chirurgiens n'est pas revérifié lorsqu'il sont titularisés. Ne pourrait-on pas avoir une mise à jour régulière?», suggère Me Boutron, avocate de Face à l'inceste et invitée de «Points de Vue».

«Le théâtre est le lieu de l’anti-explication. Lorsqu’on écrit une pièce, surtout quand elle est historique, il ne faut rien expliquer ! C’est ce que disait Jouvet : «le théâtre n’est pas propulsé par le raisonnement mais par l’émotion et l’imaginaire», explique Maxime d'Aboville.

Maxime d'Aboville présente en ce moment «Deux leçons d'Histoire de France» au Poche-Montparnasse. Et en exclusivité pour «Le Club Le Figaro Culture» présenté par J-Christophe Buisson, le comédien aux deux Molières joue un extrait de son spectacle.

«Jouer les tordus et les disgracieux, c’est passionnant. Représenter la nature humaine dans tous ses aspects est un devoir moral pour un comédien. Par provocation, je le fais par plaisir, car fondamentalement cela fait partie de notre dignité d’acteur», affirme Maxime d'Aboville.

«Les «Mémoires d’Hadrien» est une pièce magistrale, dans laquelle un empereur, qui n’est pas dupe de lui-même, contemple, au soir de sa vie, le chemin parcouru. La qualité du texte de Yourcenar et la juste sobriété de l’interprétation sont remarquables», selon Isabelle Schmitz.