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Vincent Bouquet

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Journaliste & critique dramatique pigiste (@sceneweb / ex-@Telerama, ex-@LesEchos) | Cause beaucoup théâtre, un peu du reste.

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[critique] Vincent Bouquet « Paysages avec traces – Épisode 2 » : faut-il élever les animaux ? urlr.me/kTVWpK Aurore Fattier poursuit sa série théâtrale consacrée aux relations entre humains et non-humains, et se lance sur les routes normandes pour disséquer le dilemme

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Paysages avec traces – Épisode 2 » : faut-il élever les animaux ? urlr.me/kTVWpK Aurore Fattier poursuit sa série théâtrale consacrée aux relations entre humains et non-humains, et se lance sur les routes normandes pour disséquer le dilemme
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[critique] Vincent Bouquet « Que d’espoir ! » : le « cabaret théâtral » trop sage de Valérie Lesort urlr.me/WwJacS Au Théâtre de L'Atelier, la metteuse en scène donne vie aux figures des cabarets d’Hanokh Levin, mais sous-exploite la cruauté des textes de l’auteur israélien et le

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Que d’espoir ! » : le « cabaret théâtral » trop sage de Valérie Lesort urlr.me/WwJacS Au <a href="/Th_Atelier/">Théâtre de L'Atelier</a>, la metteuse en scène donne vie aux figures des cabarets d’Hanokh Levin, mais sous-exploite la cruauté des textes de l’auteur israélien et le
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[critique] Vincent Bouquet « Bovary », la mal-aimée urlr.me/zmGAwE Carme Portaceli et Michael De Cock ne donnent de l’héroïne de Flaubert ni l’image d’une catin ni celle d’une victime, mais bien, dans toute sa complexité, d’une femme qui se consume dans son ardent désir

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Bovary », la mal-aimée urlr.me/zmGAwE Carme Portaceli et Michael De Cock ne donnent de l’héroïne de Flaubert ni l’image d’une catin ni celle d’une victime, mais bien, dans toute sa complexité, d’une femme qui se consume dans son ardent désir
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[critique] Vincent Bouquet Avec « Wonnangatta », Jacques Vincey se perd dans le bush urlr.me/z9bR8d Aux Les Plateaux Sauvages, le metteur en scène se confronte à la langue brute et rêche d’Angus Cerini, et vide la pièce du dramaturge australien de la totalité de sa substance.

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[critique] Vincent Bouquet « Le Sommet » et les pics de Christoph Marthaler urlr.me/8h7Xcy Pour notre plus grand bonheur, le metteur en scène suisse est de retour sur les routes françaises et européennes, et livre une savoureuse satire sur la vacuité intellectuelle et

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Le Sommet » et les pics de Christoph Marthaler urlr.me/8h7Xcy Pour notre plus grand bonheur, le metteur en scène suisse est de retour sur les routes françaises et européennes, et livre une savoureuse satire sur la vacuité intellectuelle et
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[critique] Vincent Bouquet « Tapajós » : l’art de la révélation de Gabriela Carneiro da Cunha urlr.me/ZBWAnt L'artiste brésilienne se met à l’écoute du Rio Tapajós et remonte la chaîne de responsabilités qui conduit à l’empoisonnement des populations locales.

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Tapajós » : l’art de la révélation de Gabriela Carneiro da Cunha urlr.me/ZBWAnt L'artiste brésilienne se met à l’écoute du Rio Tapajós et remonte la chaîne de responsabilités qui conduit à l’empoisonnement des populations locales.
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[critique] Vincent Bouquet « Ode » : Catol Teixeira entre ruptures et continuité urlr.me/2sxefK Au Théâtre de Vidy, lae chorégraphe livre un solo magnétique qui révèle l’influence des gestes du passé dans la construction et la formation de ceux du présent, et du futur.

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Ode » : Catol Teixeira entre ruptures et continuité urlr.me/2sxefK Au <a href="/theatredevidy/">Théâtre de Vidy</a>, lae chorégraphe livre un solo magnétique qui révèle l’influence des gestes du passé dans la construction et la formation de ceux du présent, et du futur.
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[critique] Vincent Bouquet « Toutes les villes détruites se ressemblent », penser sur les ruines urlr.me/T2Yr5W Magrit Coulon et Bogdan Kikena installent leur Musée Européen de la Mémoire Et de la Destruction au T2G Théâtre de Gennevilliers, et auscultent avec pertinence et malice

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Toutes les villes détruites se ressemblent », penser sur les ruines urlr.me/T2Yr5W Magrit Coulon et Bogdan Kikena installent leur Musée Européen de la Mémoire Et de la Destruction au <a href="/T2Gennevilliers/">T2G Théâtre de Gennevilliers</a>, et auscultent avec pertinence et malice
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[critique] Vincent Bouquet Avec « WOD », Lundy Grandpré déconstruit le CrossFit urlr.me/jS7GWc Avec une ironie mordante, Akène Lenoir et Marco Mary s’emparent des codes de cette pratique sportive en vogue pour mieux en révéler les accents masculinistes, et les accommoder

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[critique] Vincent Bouquet Julie Deliquet met la guerre à hauteur de femmes urlr.me/Yz2Tfe La metteuse en scène s’empare brillamment de « La guerre n’a pas un visage de femme » de Svetlana Alexievitch, et redonne à la parole de ces soldates soviétiques la place centrale

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[critique] Vincent Bouquet « Monde nouveau », la déroutante dystopie de Garraud et Saccomano urlr.me/UdYptQ La metteuse en scène et le dramaturge se lancent dans une exploration audacieuse et troublante de notre contemporanéité, et révèlent autant qu’ils se font enserrer

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Monde nouveau », la déroutante dystopie de Garraud et Saccomano urlr.me/UdYptQ La metteuse en scène et le dramaturge se lancent dans une exploration audacieuse et troublante de notre contemporanéité, et révèlent autant qu’ils se font enserrer
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[critique] Vincent Bouquet « Ommi Sissi », danser avec le virus urlr.me/2yxMDh Le chorégraphe tunisien Mohamed Issaoui livre un solo envoûtant et délicat, reflet d’une année passée dans le service infectieux de l’hôpital La Rabta de Tunis, où il a appris à vivre avec sa

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> « Ommi Sissi », danser avec le virus urlr.me/2yxMDh Le chorégraphe tunisien Mohamed Issaoui livre un solo envoûtant et délicat, reflet d’une année passée dans le service infectieux de l’hôpital La Rabta de Tunis, où il a appris à vivre avec sa
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[critique] Vincent Bouquet Avec son « Musée », Gosselin réactive Duras urlr.me/B8qpnX Le metteur en scène orchestre, avec l’incroyable talent des élèves de la promotion 2025 du Conservatoire, une fascinante plongée dans douze textes de l’autrice, et prouve qu’il est au

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[critique] Vincent Bouquet Raymond Carver sous le « Soleil » pâle d’Armel Roussel urlr.me/Xeudmt Le metteur en scène imagine un ambitieux dispositif déambulatoire pour traverser, en deux parcours distincts, douze nouvelles de l’auteur américain, mais reste au seuil de

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[critique] Vincent Bouquet Avec « Le grand palais de ma mère », Mohamed El Khatib ouvre la Nef aux quatre vents urlr.me/xYjgBC Jusqu'au 29 juin, le musée parisien organise une rétrospective qui met en relief la trajectoire et le geste artistique singulier du metteur en

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[critique] Vincent Bouquet Dans la fabrique théâtrale de François Tanguy urlr.me/FNkAUr Le Radeau présente ses deux ultimes pièces au Festival d'Avignon. L’occasion de se replonger dans « La voix sur l’épaule / Dans les passées de François Tanguy » de Laurence Chable et

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[critique] Vincent Bouquet « Le Canard » boîteux de Thomas Ostermeier urlr.me/CsFV5W Reposé sur ses acquis artistiques, le metteur en scène allemand ne parvient pas, au long de l’adaptation contemporaine qu’il en livre au Festival d'Avignon, à donner une quelconque

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[critique] Vincent Bouquet « Nexus de l’adoration » : l’envoûtant rituel pour le temps présent de Joris Lacoste urlr.me/m5EWRY Au Festival d'Avignon, le metteur en scène réussit son pari fou de compilation des choses de notre monde, dont, au long d’une comédie musicale aux

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[critique] Vincent Bouquet « Prélude de Pan », la sublime communion de Clara Hédouin urlr.me/Jmb9wR En alliant la fable de Giono et la réalité agricole d’aujourd’hui au long de ce spectacle itinérant, la metteuse en scène défend, avec sensibilité, l’importance de notre

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[critique] Vincent Bouquet Le drame des « Perses » urlr.me/XN6tHT En guise de troisième épisode de son projet « Démonter les remparts pour finir le pont », Gwenaël Morin confie à des comédiens amateurs la tragédie d’Eschyle, et les met, tout autant que les spectateurs,

[critique] <a href="/VincentBouquet/">Vincent Bouquet</a> Le drame des « Perses » urlr.me/XN6tHT En guise de troisième épisode de son projet « Démonter les remparts pour finir le pont », Gwenaël Morin confie à des comédiens amateurs la tragédie d’Eschyle, et les met, tout autant que les spectateurs,